dimanche, décembre 10, 2006

Haïkus sur mes relations chaotiques avec les fées modernes


J’ai un air niai
Une fée dort dans ma bouche
Berceau humide.

Ça y est je jouis
Lourd tsunami pour la fée
Ses ailes sont collées.

Une fée dans mon cou
Elle mord tel un vampire
Ça me fait plaisir.

Elle ferme ses ailes
Comme d’autres ferment les yeux
Pour mieux savourer.

Elle ferme ses ailes
(Nonne et enfin rebelle)
Pour ouvrir les cuisses.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

mon dieu ! il ne faut pas me faire lire des choses comme çad au bout d'un certain temps d'inactivité totale ! Inconscient !