lundi, avril 09, 2007

au travail

Colère.
Frustrations.
Ventre retourné.
Caprices d’enfant.
Envie de violence.


Je suis au travail. Je ne veux pas y être. La fatigue est une vague. Je ne sais pas nager. Je pense a cette année de fac ou je pleurais chaque matin rien qu’a l’idée de pénétrer sur le campus.
Maintenant c’est pareil. La violence en plus ?


Pleure, l’ogre, pleure entre deux clients.

J’ai peur de perdre mon amant a force de vivre décalé.
J’ai envi de passer ma journée en sa compagnie.
Hier déjà je travaillais et nous avons du rentrer tôt de Toulon et de Port Grimau au lieu de rester a buller.
Etre libre.
Arrêter d’être faible et friable.

Aujourd’hui encore ce travail sale. Ma vie est bloquée. Même si j’essaye de faire autre chose, je sais que ma vie est figée.
Jamais rien n’avancera.
Je suis sale. Je suis juste heureux d’être lavé par ce grand amour que m’offre mon Amant.

Nous avons passés un jour et ½ entre Toulon et Port Grimaud en face de Saint Tropez chez un viel ami de mon Amant.
Toulon que je n’ai pas vu. Peut-être que ce n’est pas plus mal même si, sur le moment, j’aurais voulu faire quelques pas dans cette ville ou j’ai passé mes premières années et ou je ne suis pas revenu depuis.

Port Grimaud. Des panneaux d’interdictions, des pancartes propriétés privées, des patrouilles privées de sécurité !
Quel joli monde !
Port Grimaud tout en toc. Un faux village provençal avec de vrais touristes regardant de vrais riches habiter dedans.

Jacques et Bernadette a borme les mimosas ne sont pas loin. Le soir, à la télé du travail, je les vois prendre un bain de foule sur le parvis de l’église ou ils ont assistés à la messe pascal

Aucun commentaire: