Au travail les clients sont des chiens. Ils me regardent souvent comme si j’étais de la merde ou me parle des fois comme si j’étais un peu neu-neu. Aujourd’hui ils partent sans dire au revoir en glissant rapidement dans le sas.
Aujourd’hui je me suis trompé en ne rendant pas la monnaie à un type. Je lui devais dix centimes et au lieu de me le faire remarquer il est resté planté devant moi. Je lui demande alors si je peux faire quelque chose pour lui et il me répond, avec un ton assez collet-monté, « vous n’oubliez rien ? ».
J’ai du mal à comprendre puis quand, enfin, je lui rends ses dix centimes il part en soupirant.
Il paraît que c’est de la paranoïa mais je me suis vraiment senti pire qu’un moins que rien. En plus l’entrée étant à sept euro cinquante notre caisse est composée uniquement de pièces de un et deux euro puis de cinquante centimes.
A l’entrée nous demandons l’appoint et surtout pas de pièces cuivrées.
Alors, mon gars, tes putains de pièces de vingt centimes je les ais acceptés sans moufter car, a la base, je suis un gars extrêmement sympathique, mais dit toi bien que rien ne m’y oblige. Et je suis désolé d’avoir cru apercevoir deux pièces de vingt et une pièce de dix alors qu’il s’agissait de trois pièces de vingt. Je ne sais pas si tu l’a remarqué mais tes dix centimes je suis allé les chercher dans mon porte-monnaie.
J’ai horreur du contact avec le publique. Ce n’est pas une ou deux fois par jours qu’il faut que je prennes sur moi face a certains clients c’est pratiquement tout le temps. C’est exactement pareil lors des remplacement que j’effectue en cafétéria.
L’Autre me gonfle.
lundi, août 01, 2005
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