dimanche, octobre 01, 2006

Tristesse infinie

  1. La semaine:Les bras chargés d’étoiles ou du moins de cristaux.

    Le dimanche gris ( bloqué entre deux nuits de travail)
    Le front plissé, le gris de la fenêtre fait mal aux yeux.

  1. Les bras encombrés de rien. Comme un amoureux éconduit mais son bouquet toujours à la main.

    Les bras encombrés de rien.Démarche patibulaire dans l’appartement.Je me cogne souvent. Aujourd’hui (particulièrement) je ne m’aime pas

    Tristesse infinie.

4 commentaires:

Anonyme a dit…

Bonjour. Rien à faire et rien à dire, peur de la maladresse. Et tant de regrets qui vont avec elle :)

Anonyme a dit…

Reste couché

Brigetoun a dit…

salut frérot - mais tu sais on survit

Brigetoun a dit…

trop pressé el ogro, il manquait les 3/4 du billet, non que cela ait de l'importance